Cliquez ici >>> đïž dans le jardin ou j aime entrer paroles
Cest pour cela que vous avez besoin de veiller sur ce que vous dites, chaque jour. Vos paroles peuvent avoir une influence positive et encourageante, ou nĂ©gative et dĂ©courageante. Il peut ĂȘtre plus facile de pester ou de devenir nĂ©gatif, quand les choses ne vont pas comme vous le souhaitez, mais Dieu vous appelle Ă prononcer des paroles
Unevieille chouette me dit: "Quelle distraction!" Maman, dans ce jardin extraordinaire, Je vis soudain passer la plus belle des filles. Elle vint prĂšs de moi, et lĂ me dit sans maniĂšres: "Vous me plaisez beaucoup, j'aime les hommes dont les yeux brillent!" Il fallait bien trouver, dans cette grande ville perverse, Une gentille amourette, un
91K views, 116 likes, 15 loves, 5 comments, 296 shares, Facebook Watch Videos from Au CĆur de la Louange et l'Adoration: Maggie Blanchard _Dans le 9.1K views, 116 likes, 15 loves, 5 comments, 296 shares, Facebook Watch Videos from Au CĆur de la Louange et l'Adoration: Maggie Blanchard _Dans le Jardin oĂč j'aime entrer.
Dansle jardin ou j aime entrer paroles 27 Juin 2020 EN SAVOIR PLUS >>> Ton serviteur ecoute: Je.Moment si doux de la priere, Ou Dieu, m'elev.Dans le jardin
Strophe1 Dans le jardin oĂč jâaime entrer Ă lâheure douce de lâaurore, Je me rends seul pour rencontrer Celui que mon Ăąme adore. Refrain Il marche avec moi, Mon
Tout Les Site De Rencontre Du Monde. 1 Dans le jardin oĂč j'aime entrer, Ă l'heure douce de l'aurore, Je me rends seul pour rencontrer Celui que mon Ăąme adore. Refrain Il marche avec moi, Mon Sauveur, mon Roi. Il me dit que je sui sĂ Lui; Il est mon soutien, Il est tout mon bien, Mon salut, mon divin appui. 2 Il parle, et dans mon coeur, sa voix Fait naĂźtre une joie infinie, Les oiseaux mĂȘme, au fond des bois, Suspendent leur mĂ©lodie. 3 Le don que tu cherches, Seigneur, Meilleur que les fruits de la terre, C'est l'offrande de tout mon coeur; Elle seule peut te plaire. See also JustSomeLyrics 86 Ricky Skaggs & Bruce Hornsby A Night on the Town Lyrics CĂĄssia Eller e BarĂŁo Vermelho Malandragem Lyrics
Mon rĂȘve le plus cher et le plus caressĂ©, Le seul qui rie encor Ă mon coeur oppressĂ©, Câest de mâensevelir au fond dâune chartreuse, Dans une solitude inabordable, affreuse ; Loin, bien loin, tout lĂ -bas, dans quelque Sierra Bien sauvage, oĂč jamais voix dâhomme ne vibra, Dans la forĂȘt de pins, parmi les Ăąpres roches, OĂč nâarrive pas mĂȘme un bruit lointain de cloches ; Dans quelque ThĂ©baĂŻde, aux lieux les moins hantĂ©s, Comme en cherchaient les saints pour leurs austĂ©ritĂ©s ; Sous la grotte oĂč grondait le lion de JĂ©rĂŽme, Oui, câest lĂ que jâirais pour respirer ton baume Et boire la rosĂ©e Ă ton calice ouvert, Ă frĂȘle et chaste fleur, qui crois dans le dĂ©sert Aux fentes du tombeau de lâEspĂ©rance morte ! De non cĆur dĂ©peuplĂ© je fermerais la porte Et jây ferais la garde, afin quâun souvenir Du monde des vivants nây pĂ»t pas revenir ; Jâeffacerais mon nom de ma propre mĂ©moire ; Et de tous ces mots creux Amour, Science et Gloire Quâaux jours de mon avril mon Ăąme en fleur rĂȘvait, Pour y dormir ma nuit jâen ferais un chevet ; Car je sais maintenant que vaut cette fumĂ©e Quâau-dessus du nĂ©ant pousse une renommĂ©e. Jâai regardĂ© de prĂšs et la science et lâart Jâai vu que ce nâĂ©tait que mensonge et hasard ; Jâai mis sur un plateau de toile dâaraignĂ©e Lâamour quâen mon chemin jâai reçue et donnĂ©e Puis sur lâautre plateau deux grains du vermillon Impalpable, qui teint lâaile du papillon, Et jâai trouvĂ© lâamour lĂ©ger dans la balance. Donc, reçois dans tes bras, ĂŽ douce somnolence, Vierge aux pĂąles couleurs, blanche sĆur de la mort, Un pauvre naufragĂ© des tempĂȘtes du sort ! Exauce un malheureux qui te prie et tâimplore, Egraine sur son front le pavot inodore, Abrite-le dâun pan de ton grand manteau noir, Et du doigt clos ses yeux qui ne veulent plus voir. Vous, esprits du dĂ©sert, cependant quâil sommeille, Faites taire les vents et bouchez son oreille, Pour quâil nâentende pas le retentissement Du siĂšcle qui sâĂ©croule, et ce bourdonnement Quâen sâen allant au but oĂč son destin la mĂšne Sur le chemin du temps fait la famille humaine ! Je suis las de la vie et ne veux pas mourir ; Mes pieds ne peuvent plus ni marcher ni courir ; Jâai les talons usĂ©s de battre cette route Qui ramĂšne toujours de la science au doute. Assez, je me suis dit, voilĂ la question. Va, pauvre rĂȘveur, cherche une solution Claire et satisfaisante Ă ton sombre problĂšme, Tandis quâOphĂ©lia te dit tout haut Je tâaime ; Mon beau prince danois marche les bras croisĂ©s, Le front dans la poitrine et les sourcils froncĂ©s, Dâun pas lent et pensif arpente le théùtre, Plus pĂąle que ne sont ces figures dâalbĂątre, Pleurant pour les vivants sur les tombeaux des morts ; Ăpuise ta vigueur en stĂ©riles efforts, Et tu nâarriveras, comme a fait OphĂ©lie, QuâĂ lâabrutissement ou bien Ă la folie. Câest Ă ce degrĂ©-lĂ que je suis arrivĂ©. Je sens ployer sous moi mon gĂ©nie Ă©nervĂ© ; Je ne vis plus ; je suis une lampe sans flamme, Et mon corps est vraiment le cercueil de mon Ăąme. Ne plus penser, ne plus aimer, ne plus haĂŻr, Si dans un coin du cĆur il Ă©clot un dĂ©sir, Lui couper sans pitiĂ© ses ailes de colombe, Ătre comme est un mort, Ă©tendu sous la tombe, Dans lâimmobilitĂ© savourer lentement, Comme un philtre endormeur, lâanĂ©antissement VoilĂ quel est mon vĆu, tant jâai de lassitude, Dâavoir voulu gravir cette cĂŽte Ăąpre et rude, Brocken mystĂ©rieux, oĂč des sommets nouveaux Surgissent tout Ă coup sur de nouveaux plateaux, Et qui ne laisse voir de ses plus hautes cimes Que lâesprit du vertige errant sur les abĂźmes. Câest pourquoi je mâassieds au revers du fossĂ©, DĂ©sabusĂ© de tout, plus voĂ»tĂ©, plus cassĂ© Que ces vieux mendiants que jusques Ă la porte Le chien de la maison en grommelant escorte. Câest pourquoi, fatiguĂ© dâerrer et de gĂ©mir, Comme un petit enfant, je demande Ă dormir ; Je veux dans le nĂ©ant renouveler mon ĂȘtre, Mâisoler de moi-mĂȘme et ne plus me connaĂźtre ; Et comme en un linceul, sans y laisser un seul pli, Rester enveloppĂ© dans mon manteau dâoubli. Jâaimerais que ce fĂ»t dans une roche creuse, Au penchant dâune cĂŽte escarpĂ©e et pierreuse, Comme dans les tableaux de ââSalvator Rosaââ, OĂč le pied dâun vivant jamais ne se posa ; Sous un ciel vert, zĂ©brĂ© de grands nuages fauves, Dans des terrains galeux clairsemĂ©s dâarbres chauves, Avec un horizon sans couronne dâazur, Bornant de tous cĂŽtĂ©s le regard comme un mur, Et dans les roseaux secs prĂšs dâune eau noire et plate Quelque maigre hĂ©ron debout sur une patte. Sur la caverne, un pin, ainsi quâun spectre en deuil Qui tend ses bras voilĂ©s au-dessus dâun cercueil, Tendrait ses bras en pleurs, et du haut de la voĂ»te Un maigre filet dâeau suintant goutte Ă goutte, Marquerait par sa chute aux sons intermittents Le battement Ă©gal que fait le cĆur du temps. Comme la NiobĂ© qui pleurait sur la roche, JusquâĂ ce que le lierre autour de moi sâaccroche, Je demeurerais lĂ les genoux au menton, Plus ployĂ© que jamais, sous lâangle dâun fronton, Ces Atlas accroupis gonflant leurs nerfs de marbre ; Mes pieds prendraient racine et je deviendrais arbre ; Les faons auprĂšs de moi tondraient le gazon ras, Et les oiseaux de nuit percheraient sur mes bras. Câest lĂ ce quâil me faut plutĂŽt quâun monastĂšre ; Un couvent est un port qui tient trop Ă la terre ; Ma nef tire trop dâeau pour y pouvoir entrer Sans en toucher le fond et sans sây dĂ©chirer. DĂ»t sombrer le navire avec toute sa charge, Jâaime mieux errer seul sur lâeau profonde et large. Aux barques de pĂȘcheur lâanse Ă lâabri du vent, Aux simples naufragĂ©s de lâĂąme, le couvent. Ă moi la solitude effroyable et profonde, Par dedans, par dehors ! Par dedans, par dehors ! Un couvent, câest un monde ; On y pense, on y rĂȘve, on y prie, on y croit La mort nâest que le seuil dâune autre vie ; on voit Passer au long du cloĂźtre une forme angĂ©lique ; La cloche vous murmure un chant mĂ©lancolique ; La Vierge vous sourit, le bel enfant JĂ©sus Vous tend ses petits bras de sa niche ; au-dessus De vos fronts inclinĂ©s, comme un essaim dâabeilles, Volent les ChĂ©rubins en lĂ©gions vermeilles. Vous ĂȘtes tout espoir, tout joie et tout amour, Ă lâescalier du ciel vous montez chaque jour ; Lâextase vous remplit dâineffables dĂ©lices, Et vos cĆurs parfumĂ©s sont comme des calices ; Vous marchez entourĂ©s de cĂ©lestes rayons Et vos pieds aprĂšs vous laissent dâardents sillons ! Ah ! grands voluptueux, sybarites du cloĂźtre, Qui passez votre vie Ă voir sâouvrir et croĂźtre Dans le jardin fleuri de la mysticitĂ©, Les pĂ©tales dâargent du lis de puretĂ©, Vrais libertins du ciel, dĂ©vots Sardanapales, Vous, vieux moines chenus, et vous, novices pĂąles, Foyers couverts de cendre, encensoirs ignorĂ©s, Quel don Juan a jamais sous ses lambris dorĂ©s Senti des voluptĂ©s comparables aux vĂŽtres ! AuprĂšs de vos plaisirs, quels plaisirs sont les nĂŽtres ! Quel amant a jamais, Ă lâĂąge oĂč lâĆil reluit, Dans tout lâenivrement de la premiĂšre nuit, PoussĂ© plus de soupirs profonds et pleins de flamme, Et baisĂ© les pieds nus de la plus belle femme Avec la mĂȘme ardeur que vous les pieds de bois Du cadavre insensible allongĂ© sur la croix ! Quelle bouche fleurie et dâambroisie humide, Vaudrait la bouche ouverte Ă son cĂŽtĂ© livide ! Notre vin est grossier ; pour vous, au lieu de vin, Dans un calice dâor perle le sang divin ; Nous usons notre lĂšvre au seuil des courtisanes, Vous autres, vous aimez des saintes diaphanes, Qui se parent pour vous des couleurs des vitraux Et sur vos fronts tondus, au dĂ©tour des arceaux, Laissent flotter le bout de leurs robes de gaze Nous nâavons que lâivresse et vous avez lâextase. Nous, nos contentements dureront peu de jours, Les vĂŽtres, bien plus vifs, doivent durer toujours. Calculateurs prudents, pour lâabandon dâune heure, Sur une terre oĂč nul plus dâun jour ne demeure, Vous achetez le ciel avec lâĂ©ternitĂ©. MalgrĂ© ta rĂšgle Ă©troite et ton austĂ©ritĂ©, Maigre et jaune RancĂ©, tes moines taciturnes Sâentrâouvrent Ă lâamour comme des fleurs nocturnes, Une tĂȘte de mort grimaçante pour nous Sourit Ă leur chevet du rire le plus doux ; Ils creusent chaque jour leur fosse au cimetiĂšre, Ils jeĂ»nent et nâont pas dâautre lit quâune biĂšre, Mais ils sentent vibrer sous leur suaire blanc, Dans des transports divins, un cĆur chaste et brĂ»lant ; Ils se baignent aux flots de lâocĂ©an de joie, Et sous la voluptĂ© leur Ăąme tremble et ploie, Comme fait une fleur sous une goutte dâeau, Ils sont dignes dâenvie et leur sort est trĂšs-beau ; Mais ils sont peu nombreux dans ce siĂšcle incrĂ©dule Creux qui font de leur Ăąme une lampe qui brĂ»le, Et qui peuvent, baisant la blessure du Christ, Croire que tout sâest fait comme il Ă©tait Ă©crit. Il en est qui nâont pas le don des saintes larmes, Qui veillent sans lumiĂšre et combattent sans armes ; Il est des malheureux qui ne peuvent prier Et dont la voix sâĂ©teint quand ils veulent crier ; Tous ne se baignent pas dans la pure piscine Et nâont pas mĂȘme part Ă la table divine Moi, je suis de ce nombre, et comme saint Thomas, Si je nâai dans la plaie un doigt, je ne crois pas. Aussi je me choisis un antre pour retraite Dans une rĂ©gion dĂ©tournĂ©e et secrĂšte DâoĂč lâon nâentende pas le rire des heureux Ni le chant printanier des oiseaux amoureux, Lâantre dâun loup crevĂ© de faim ou de vieillesse, Car tout son mâimportune et tout rayon me blesse, Tout ce qui palpite, aime ou chante, me dĂ©plaĂźt, Et je hais lâhomme autant et plus que ne le hait Le buffle Ă qui lâon vient de percer la narine. De tous les sentiments croulĂ©s dans la ruine, Du temple de mon Ăąme, il ne reste debout Que deux piliers dâairain, la haine et le dĂ©goĂ»t. Pourtant je suis Ă peine au tiers de ma journĂ©e ; Ma tĂȘte de cheveux nâest pas dĂ©couronnĂ©e ; Ă peine vingt Ă©pis sont tombĂ©s du faisceau Je puis derriĂšre moi voir encor mon berceau. Mais les soucis amers de leurs griffes arides Mâont fouillĂ© dans le front dâassez profondes rides Pour en faire une fosse Ă chaque illusion. Ainsi me voilĂ donc sans foi ni passion, DĂ©sireux de la vie et ne pouvant pas vivre, Et dĂšs le premier mot sachant la fin du livre. Car câest ainsi que sont les jeunes dâaujourdâhui Leurs mĂšres les ont faits dans un moment dâennui. Et qui les voit auprĂšs des blancs sexagĂ©naires PlutĂŽt que les enfants les estime les pĂšres ; Ils sont venus au monde avec des cheveux gris ; Comme ces arbrisseaux frĂȘles et rabougris Qui, dĂšs le mois de mai, sont pleins de feuilles mortes, Ils sâeffeuillent au vent, et vont devant leurs portes Se chauffer au soleil Ă cĂŽtĂ© de lâaĂŻeul, Et du jeune et du vieux, Ă coup sĂ»r, le plus seul, Le moins accompagnĂ© sur la route du monde, HĂ©las ! câest le jeune homme Ă tĂȘte brune ou blonde Et non pas le vieillard sur qui lâĂąge a neigĂ© ; Celui dont le navire est le plus allĂ©gĂ© DâespĂ©rance et dâamour, lest divin dont on jette Quelque chose Ă la mer chaque jour de tempĂȘte, Ce nâest pas le vieillard, dont le triste vaisseau Va bientĂŽt Ă©chouer Ă lâĂ©cueil du tombeau. Lâunivers dĂ©crĂ©pit devient paralytique, La nature se meurt, et le spectre critique Cherche en vain sous le ciel quelque chose Ă nier. Quâattends-tu donc, clairon du jugement dernier ? Dis-moi, quâattends-tu donc, archange Ă bouche ronde Qui dois sonner lĂ -haut la fanfare du monde ? Toi, sablier du temps, que Dieu tient dans sa main, Quand donc laisseras-tu tomber ton dernier grain ?
Create Presentation Download Presentation Download Skip this Video Loading SlideShow in 5 Seconds.. Dans le jardin PowerPoint Presentation Download Presentation Dans le jardin 1 / 34 191 Views Download Presentation Dans le jardin. Pauline est dans le jardin. Salut, Pauline. Salut!. Quâest â ce quâil y a dans le jardin?. Dans le jardin il y a un mur. Quâest â ce quâil y a derri Ăš re le mur?. Derri Ăš re le mur il y a un arbre. Quâest â ce quâil y a dans le jardin?. Il y a un banc dans le jardin. Uploaded on Sep 16, 2012 Temira Contreras Download PresentationDans le jardin - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - E N D - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Related More by User 593. Dans le jardin⊠- . 1 dans le jardin oĂč j'aime entrer, Ă l'heure douce de l'aurore, je me rends seul pour Le jardin est dans le sac! - . projet evb du 1 e cycle Ă lâĂ©cole de lâaquarelle hiver-printemps 2013. quâest ce Le jardin - La cuisine. le palier. le jardin. la salle Ă manger. la cuisine. le palier. le grenier. le salon / le BIENVENUE DANS LE JARDIN DE MA GRAND-MĂRE - . welcome in the grandmother garden. au revoir jâai fini ma journĂe. Le jardin dâOlt - . mars 2013. les approches non mĂ©dicamenteuses. importance de ces approches en Le jardin du DragonâŠ. - Double salon. escalier. salle a manger. entree. wc. placard. cuisine. sdb. chambre 1. Le Jardin du Luxembourg - Mardi 7 octobre 2014. le jardin du luxembourg. suivez le guide Le Jardin du Luxembourg - . le jardin du luxembourg familiĂšrement appelĂ© le luco » est un ensemble de jardins Le jardin des sentiments - . ne pas cliquer dĂ©roulement automatique. la nuit Ă©treint le jour dans ses bras de satin. Le jardin du Luxembourg - . 23hectares. le palais du luxembourg . crĂ©e Ă demande de marie mĂ©dicis. marie mĂ©dicis. Le jardin de Luxembourg - . 23 hectares. 21 pour public. le palais du luxembourg . un petit peu dâhistoire. crĂ©e Ă Restaurant Le Jardin Marrakech - Restaurant le jardin is a bizarre place for the extraordinary customers. it will fill SCULPTURES dans le parc et jardin de la Fondation Gianadda - . clic manuel. photo du net. la fondation gianadda est un Quelque part en Meuse dans le coquet jardin de Melle Lagrenouille⊠- . monsieur labougeotte est un nain de jardin Le Jardin Partag des Galvents - 2. sommaire. le lieu impasse des galventsun bel exemple de Le jardin de mon Coeur Je suis descendue dans mon jardin - Je suis descendu dans mon jardin. je suis descendu dans mon jardin. je suis descendue âLe jardin de la Franceâ - . val de loire est la galerie des chefs dâoeuvres. ces chateaux ont ete construits dans Le quartier du jardin public - . le quartier du jardin public consiste de frontiĂšres qui incluent le jardin public qui a LE JARDIN DE GRAND-MĂRE - . les lĂgumes. les fruits. les fleurs. câest Ă vous de complĂ©ter le dialogue faites Promenade dans le jardin exotique des papillons au Luxembourg - . ce beau papillon est encore dans la 1 of 5 Presentation Transcript Dans le jardinPauline est dans le jardin. Salut, Pauline. Salut!Quâest â ce quâil y a dans le jardin?Dans le jardin il y a un â ce quâil y a derriĂšre le mur?DerriĂšre le mur il y a un â ce quâil y a dans le jardin?Il y a un banc dans le â ce quâil y a devant le banc?Devant le banc il y a des ce quâil y a derriĂšre lâarbre?DerriĂšre lâarbre il y a une â ce que devant la balançoire?Il y a une poubelle devant la est dans la poubelle?Tom est dans la poubelle. Viens ici Tom!un arbre une balançoire des fleurs une poubelle un banc un murQuâest - ce quâil manque?la poubelle!Quâest - ce quâil manque?des fleurs!Quâest - ce quâil manque?lâarbre!Quâest - ce quâil manque?le banc!Quâest - ce quâil manque?la balançoire!Quâest - ce quâil manque?le mur!Pauline est sur lâarbre. Pauline is on the est derriĂšre lâarbre. Pauline is behind the est devant lâarbre. Pauline is in front of the est sous lâarbre. Pauline is under the est dans lâarbre. Pauline is in the tree.
YĂ© suis le chanteur masquĂ© YĂ© suis venu pour venger Les parents du monde entier Que l'on a persĂ©cutĂ© avec des chansons pour bĂ©bĂ© C'est la mere MichĂšle qui a perdu son chat C'est bien fait pour sa gueule personne le lui rendra C'est le pere Lustucru, qui l'a mangĂ© tout cru Parce qu'elle n'a jamais voulu lui monter son cul Dans la foret un grand cerf regardait par la fenĂȘtre Un lapin venir a lui et chanter ainsi Cerf, cerf ouvre moi ou le chasseur me tuera Laisse moi entrer dans ta hutte, t'auras ta turlutte Ainsi font font font les p'tis maris mal-honnĂȘte Ainsi font font font 1 p'tit coup et puis s'en vont Au clair de la lune mon ami Pierrot Tu peux te mettre la plume dans le bas du dos Ma chandelle est morte et je vais en faire Comme toutes les autres un sextoy pas chere Une souris verte qui courait dans l'herbe Je l'attrape par la queue, je l'assomme avec la mienne Je la trempe dans l'huile, je la trempe dans l'eau Et ca fout les boules Ă Brigitte Bardot Vive le vent vive le vent vive le vent d'hiver Qui soulĂšve les jupes des filles pour qu'on voit leur culotte Vive le vent vive le vent vive le vent d'hiver Qui refroidit le derriĂšre et rafraichit la motte OhĂ© ohĂ© matelo t'aime pas la mer Mais tu prĂ©fĂšre les bistrots OhĂ© ohĂ© matelo et les bars a putes Au commando Cousto FrĂšre Jacques frĂšre Jacques Pouvez-vous, pouvez-vous Sonne les matines avec votre bine Ding ding dong ding ding dong YĂ© suis le chanteur masquĂ© YĂ© suis venu pour venger Les parents du monde entier Que l'on a persĂ©cutĂ© avec des chansons pour bĂ©bĂ© Ă la clair fontaine m'en allant promener J'ai trouvĂ© Marie-Claire et je me la suis tapĂ© Depuis j'ai des petites bĂȘtes jamais je ne l'oublierai Il foure il foure le curĂ©, le cure deriere l'Ă©glise Il foure il foure le curĂ© on la mĂȘme vu chez Denise Il est passe par ici et il repassera par lĂ J'ai descendu dans mon jardin J'ai descendu dans mon jardin Pour y cueillir le fruit divin Gentil clito mes dames gentil clito nouveau Gentil clito mes dames gentil clito nouveau Mon beau tapin roi des forĂȘts Que j'aime ta fourrure, au bois de Boulogne Au bois de Vincennes, y'a que des bĂ»cheronnes qui se promĂšnent Mon beau tapin roi des forĂȘts Que j'aime ta fourrure Dans la forĂȘt lointaine on entend le coucou Qui qui perdra a l'aine je voudrai prendre un petit coup Coucou, coucou je voudrai prendre un petit coup Coucou, coucou je voudrai prendre un petit coup Une poule sur un mur qui picore du pain dur Picoti picota lĂšve la queue et puit s'en vas Une poule contre un mur qui cherche des aventures Picoti picotons lĂšve la queue et puis s'en vont Il Ă©tait un petit homme pirouette cacouhette Il Ă©tait un petit homme qui s'en tapĂ© un maximum, Qui s'en tapĂ© un maximum Mais on peut pas dire qui sais pirouette cacouhette Mais on peut pas dire qui sais sa gueulerĂ© trop a l'ElyssĂ©, sa gueulerĂ© trop a l'ElyssĂ© Et on fait tourner les kekettes comme des petites girouettes sa fait du vent sur les roupettes c'est chouettes c'est chouettes et c'est bon pour la tete Et on fait tourner et les kekettes comme des petites girouettes sa fait du vent sur les roupettes c'est Chouettes c'est chouettes et c'est lĂ que la chanson s'arrĂȘte Voila !! Cest fini ...
ï»żTu habites un jardin Qui s'appelle la Terre Quand tu es nĂ©, tu n'Ă©tais rien Quand tu meurs, tu redeviens poussiĂšre Y avait un aveugle dans le jardin Et personne ne l'a vu Y avait un menteur dans le jardin La suite des paroles ci-dessous Et tout le monde l'a cru Y avait des promoteurs dans le jardin On les a laissĂ© faire Y avait des soldats dans le jardin Personne ne croyait Ă la guerre Tu peux appeler "Dieu" ce qui donne la vie Moi, celui qui donne la mort, je l'appelle un bandit Quelque part, quelqu'un t'attend pour partager ta vie Et partager, c'est prendre mais c'est donner aussi La suite des paroles ci-dessous Pour une Ăźle qui meurt, un volcan a jailli Le vieil homme et la mer, un enfant pousse un cri Tu habites un jardin Qui s'appelle la Terre Quand tu es nĂ©, tu n'Ă©tais rien Quand tu meurs, tu redeviens poussiĂšre Y avait un aveugle dans le jardin Et personne ne l'a vu Y avait un menteur dans le jardin Et tout le monde l'a cru Y avait des promoteurs dans le jardin On les a laissĂ© faire Y avait des soldats dans le jardin Personne ne croyait Ă la guerre Les internautes qui ont aimĂ© "Dans Le Jardin" aiment aussi
dans le jardin ou j aime entrer paroles